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L'Éclaireuse
de
Potentiels
.

Image de Rex Pickar

Je vous parle de moi.
mon chemin, ma vision, ma proposition

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Mon nom est Amélie SYMPHOR.

Du plus loin où peut remonter ma mémoire j'ai toujours été une passionnée d'animaux. Tout dans ma vie, jusqu'à récemment, avait pour perspective de me rapprocher d'eux et notamment des chevaux. Ils m'omnibulaient on peut le dire. J'étais la seule de la famille à leur accorder cette quasi dévotion. Je suis issue de grands parents ayant vécu une bonne partie de leur vie à la campagne mais je n'ai été immergée dans cette atmosphère très rurale qu'occasionnellement. Je vivais dans une commune de 2000 habitants en zone pavillonnaire proche du bassin d'arcachon. J'ai quand même eu la chance d'avoir toutes sortes de bêtes à poils et à plumes depuis petite.

Ma première tentative de rapprochement avec les chevaux 

Comme beaucoup d'enfants je rêvais de monter à cheval. Mes parents franchissent le cap pour mes 12 ans et je débute l'équitation dans un centre équestre que l'on pourrait qualifier aujourd'hui de "classique", dans la région bordelaise. Je n'aimais pas l'équitation. Ce que j'aimais c'était les chevaux ! Je ne comprenais pas que l'on puisse prendre du plaisir à obliger un poney à franchir un obstacle que j'avais moi-même peur de regarder. Les reprises, dans un manège sinistre et encadrées par un moniteur aussi antipathique que rigide, me laissaient penser que le monde du cheval ne me correspondait pas. Ce que je voulais c'était brosser un poney, rester assise à coté de lui, me promener dans les bois et je n'avais que faire du passage des Galops (niveaux d'équitation) et des compétitions du week-end. Je ne parle même pas de mon expérience avec la fréquentation des cavalières de mon âge. Je n'ai pas tenu un an et j'ai arrêté.

 

Un parcours scolaire bien loin des animaux

Comme j'étais très active, mes parents m'ont invitée à tenter toutes sortes d'activités extra-scolaires. Tous les sports y sont passés, la musique, les arts manuels, etc. mais je ne trouvais pas une discipline pour laquelle vraiment m'investir. Je passe le baccalauréat et avec mon premier salaire de saisonnière je m'offre un poney. Il s'appelait Condor. Ce fut le premier de la longue liste de mes compagnons. Je m'oriente en cycle universitaire de biologie sans vraiment savoir quoi faire d'un diplôme dans ce domaine mais en gardant à l'esprit que si je devais un jour me rapprocher des animaux, je serais sur une route plus favorable qu'en suivant un cursus de sciences politiques. Le diplôme de vétérinaire me paraissait bien trop ardu à obtenir pour une élève au niveau scolaire moyen. Je découvre donc les joies de la fac et je profite de mon statut d'étudiante pendant 6 ans. J'intègre un Institut Universitaire Professionnalisé (EGID) après le DEUG et je découvre la vie d'une "promotion" avec toutes les particularités d'être isolée dans un système éducatif assez confidentiel. J'apprécie cette esprit d'équipe où des liens se tissent et perdurent pendant 3 années. Nous étions formatés à devenir des professionnels de l'environnement et de la géo-ingénierie avec un itinéraire très technique appliqué aux sciences de la terre.

 

Le déclic : je sais ce que je veux faire de ma vie !

Dans ce cursus, une seule matière me passionnait : l'écologie humaine. Cela correspond en gros à la sociologie de l'environnement ! C'était la seule discipline que je connaissais qui traitait de l'humain. Pourquoi cela me stimulait autant ? Parce qu'à mes yeux, c'était probablement la première fois que l'on me faisait partager dans l'enseignement supérieur quelque chose qui avait du sens.  Je sortais la tête des équations de mécanique des fluides pour dimensionner des barrages et des techniques d'extraction de pétrole off shore pour dédier mon attention à une chose : l'homme et son environnement. C'est ce qui plus tard sera nommé vulgairement le développement durable. J'obtiens ce diplôme à la suite d'un stage dans une association d'étude de la Cistude d'Europe. Je suis aux anges, je capture et mesure des tortues pendant 3 mois. En même temps j'achète une jument, Princesse, qui vit toujours à mes cotés en 2022.

Dernière année d'étude : je rentre dans le dur 

Je termine donc tout naturellement ce cycle de 5 années par un Master 2 professionnel de gestion du développement durable. Année de création de cette formation, j'écume les déboires des approximations organisationnelles de l'université de géographie, mais je rencontre des étudiants très ouverts, ayant beaucoup voyagé lors de leurs travaux de mémoire. C'est à ce moment même où je mets un pied dans la fourmilière des enseignants chercheurs que je comprends.  De la rigueur d'une école de 25 élèves formés à devenir l'élite, je bascule dans la fosse aux lions où les enseignants jouent la carte de la dévalorisation des étudiants en guise de stimulation. J'apprends à travailler avec des jeunes déprimés, ayant perdu confiance en eux mais extrêmement lucides quand à une face qui m'était inconnue du monde : les mécanismes des fonds monétaires internationaux appelés à l'époque fonds structurels et les problématiques engendrées par le réchauffement climatique dans les pays pauvres. Une année de recherches, de compilations de données, de synthèses sur des thèmes qui m'étaient totalement étrangers. Un retour à la réalité du monde qui me met une gifle. Bien loin de l'algèbre, j'étudie la gestion de projets et je perçois l'ingérence totale des modes de développement imposés aux populations des pays qualifiés à cette époque de "sous développés". 

Mon premier métier : 12 ans de nage à contre courant

J'ai la chance d'être retenue pour 6 mois de stage de fin d'études au Conseil Général du Tarn. Je travaille au service développement durable. Une très belle expérience qui me met un pied à l'étrier dans l'univers de la fonction publique (souvenez vous quand même de mon projet initial !). Je suis rapidement recrutée dans une collectivité de 20 000 habitants pour la création d'une Charte de l'environnement qui deviendra Agenda 21 peu de temps plus tard. Je suis dans mon domaine de prédilection et je commence à m'épanouir professionnellement. L'engouement de la jeunesse m'empêche de réaliser à quel point ma marge de manœuvre reste modeste. Peu à peu et même si j'ai la chance de contribuer aux travaux communs d'un réseau départemental et national, je me heurte à un immense impondérable : la politique ! Pendant 12 années, j'ai essayé par tous les moyens de faire partager une vision, un paradigme, en explicitant méthodiquement comment avancer et créer le changement sur la base d'un modèle économique et sociétal dissonant. Je n'inventais rien, il suffisait de lire quelques rapports internationaux pour argumenter sur l'urgence de se mobiliser.  J'étais libre dans mon travail mais cette expérience m'a bien prouvée que seule, à contre courant, la nage épuise même si elle nous galbe les cuisses !

Déçue et résignée, je décide donc de me reconvertir pour travailler pour moi.

Mon deuxième métier : 10 ans de re-nage à contre courant

En parallèle de cette expérience déroutante, je débute un travail personnel et je ne perds pas de vue que je souhaite toujours me rapprocher des animaux. Je vis une révélation sur un stage animée par une podologue équin et peu de temps plus tard, j'entame la formation professionnelle sur mon temps libre. Je redécouvre le monde du cheval sous l'angle du soin. Le formateur américain particulièrement érudit capte mon attention par la dimension de son enseignement. En 2013 je deviens podologue pour chevaux. Je cumule une double activité pendant 6 ans et après avoir eu mon petit garçon, je quitte le monde des collectivités locales fin 2018 et me lance exclusivement dans l'entreprenariat. C'est une nouvelle vie. Ma clientèle prend de l'ampleur, je couvre 4 départements, je parcours 6000 km par mois. La podologie équine étant une discipline peu connue en France, puisque n'est reconnu officiellement que le métier de maréchal ferrant. Je fais face à autant d'enthousiasme que de désillusions. Jugement des autres professionnels, méfiance du monde du cheval, mon travail est surveillé du coin de l'œil et tout autant recherché par quelques convaincus de l'approche holistique dans la prise en charge de la santé du cheval. J'intègre la cohérence d'une vision globale, qui dépasse le symptôme, en allant jusqu'à percevoir le lien étroit qui réside entre le bien être de l'animal et l'état émotionnel de son gardien. L'animal me rapproche de l'homme, inexorablement. Je cherche à en savoir plus, je fais des rencontres, je me forme et de nouveaux canaux de perceptions s'ouvrent. Je développe une forme de clairconnaissance. Je ne sais pas comment je sais, mais je sais ; à l'intérieur de moi émergent des informations qui permettent d'accompagner le cheval et son humain. Peu à peu, je me rends compte que l'accès à ces éléments vibratoires est permanent et que les mots que j'utilise sont comme inspirés. J'écris donc, tous les jours, des cahiers entiers. Je pose des questions et cette inspiration... me répond !

Mon troisième métier : l'aboutissement d'une histoire loin d'être terminée

Comme tu l'auras compris, j'aime l'écriture car j'aime la puissance des mots. Utilisée dans la justesse et la pleine conscience, les mots sont libérateurs, révélateurs ; ils créent. Face à la fatigue qui s'accumulait par un métier physique qui me faisait parcourir beaucoup de route, je décide de m'orienter vers la rédaction ! Je me lance dans une formation de Rédacteur Web. Ce fut une très belle découverte. Je ne connaissais pas du tout le monde d'internet et je comprends toute l'influence qu'ont nos paroles sur les autres et sur le monde. Je perçois à quel point il est facile d'influencer le lecteur, de le toucher dans ses émotions (copywriting) et par conséquent de l'inspirer. Seulement j'ai besoin de sens. Écrire pour des clients au coup par coup, même avec une certaine diversité de vocabulaire et de constructions grammaticales n'est pas suffisamment stimulant à mes yeux. Je communique un peu autour de moi et je commence à créer des sites internet, des supports digitaux mais tout cela manque de profondeur et me met dans l'inconfort. J'ai besoin de plus, tout cela était encore trop petit. Et enfin la lumière s'allume !! Je dois associer mes deux potentiels au service des humains : l'écriture et la clairvoyance ! L'éclaireuse de potentiels venait de naître. Je choisis de me centrer sur l'entreprenariat ; mon désir est d'ouvrir le champ des possibles à ceux qui, comme moi, ont envie d'apporter leur contribution au monde !

Je me retrouve maintenant devant toi pour te proposer ce que je sais faire de mieux : Écouter ma guidance pour t'inspirer dans ton projet !!

J'avance dans cette aventure au jour le jour, je saisis les opportunités, j'utilise tout ce que je connais pour servir ton univers et je m'entoure de professionnels créatifs et inspirants pour compléter mes offres. 

Voilà mon chemin, voilà ma vision, voilà ma proposition. 

Amélie

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